Faune y flaure

Les pentes abruptes de ce massif et de l’érosion sont la cause de la pauvreté des sols, qui ont une terre forestière claire. et dans les parties inférieures, et rivières fond des vallées apparaissent galène et riveraines des forêts, des réserves non seulement les plantes, mais beaucoup d’oiseaux et d’insectes, qui trouvent ici leur habitat et le logement.

L’oliveraie est la plus répandue dans la culture du parc naturel, bien que figuiers, cerisiers, amandiers, noyers sont également cultivés. . .plus plus tard, à des altitudes plus élevées, apparaissent des zones boisées plus caractéristique de ces espaces, comme le chêne, le genévrier, chêne kermès et pins.

Dans ces formations coexistence avec d’autres arbustes, tels que Retamales et Espartales, prunellier et ronce apparaissent. Au début de vastes zones de chêne indigène, gall chêne, Aceral, cornouillers, genévriers, genévriers rampants étendre. . .de sa flore mettent en évidence certaines plantes uniques de ces terres en tant Jurinea fontqueri, le heliantehemun de frigidurum et Lithodora forte. début du XXe siècle disparaissent les grands prédateurs dans la région méditerranéenne: le loup et le lynx; en place sont de petits carnivores tels que le chat sauvage, la genette et le renard. Parmi les oiseaux de proie: le Buzzard, le faucon et l’aigle royal.

Les sommets hivers le merle à plastron unique, tandis que les nids de roche grive dans les crevasses des rochers. pinsons, bruants, rossignols et les pinsons vivent au contraire dans les forêts de chênes et d’oliviers. En mágina il y a une grande population de chèvres sauvages, des sangliers, des cerfs et mouflons.